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Les pics de pollution observés correspondaient aux heures d’allumage des cheminées. L’évolution des signalements sur Odo s’est fait en parallèle [Leur nombre a réellement augmenté dans la soirée du 1er janvier, et ils ont atteint leur pic dans la matinée du 2 janvier, Ndlr]. On a lancé l’alerte. Le Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) n’avait pas de feu, la préfecture n’avait pas d’incident en cours. On a donc privilégié cette explication des feux de cheminée et du pic de pollution saisonnier. Dès le départ, on n’a pas fermé la possibilité d’autres…